De nombreux dispositifs d’aides directes et indirectes existent mais ils sont difficilement lisibles. Ceci est surtout vrai pour les publics auxquels ils s’adressent et qui en demeurent parfois éloignés par simple méconnaissance.

C’est pourquoi tant la mission sénatoriale que la commission présidée par M Martin Hirsch, ont avancé des idées de réforme qui nécessiteraient sans doute de refondre l’ensemble des dispositifs existants afin de garantir à tous le droit d’accéder à une formation en vue d’un emploi.

Leurs démarches respectives sont fondées sur la distinction entre :
- un système de dotation sous conditions de ressources, mobilisables à des fins spécifiques mais de façon libre et responsabilisante pour le jeune,
- et/ou un dispositif plus classique de mesures ciblées en fonction des difficultés rencontrées.

Faut-il aider les jeunes à se constituer un capital en vue de financer leurs études, ou bien plutôt leur assurer des revenus réguliers ? Le débat reste ouvert. La mission sénatoriale se réunira à ce sujet la deuxième quinzaine de septembre.
D’ici là, votre avis nous intéresse.