Parmi les espèces animales invasives, il y en a peu qui soit aussi néfastes que le lapin. J’ai eu l’occasion de le souligner lors de mon passage à Kerguelen.
Lors d’une récente visite au Muséum national d’histoire naturelle (MNHN), Jean-Louis Chapuis m’en a fait une nouvelle présentation édifiante et a clairement posé la question de la régulation et pour être plus précis de l’introduction de la puce du lapin, vectrice de la myxomatose.