En kiosque ce vendredi 4 février 2011,
Les Echos titrent: “La France n’aime pas ses jeunes”
“Précarité, pauvreté, déclassement sont le lot quotidien d’une jeunesse à qui ni la société, ni les entreprises ne font confiance. Comment les réconcilier ?”
Je me dois de réagir fortement à cette une. La France a manifestement un problème avec sa jeunesse, mais cette pleine page des Echos fait l’impasse sur toutes ces belles initiatives qui sont avant tout faites pour les jeunes, sans compter toutes les personnes investies au sein de projets qui ont pour but de tout faire pour que notre jeunesse prenne un bon départ dans la vie.
Au cours de mes visites de terrain, j’ai pu découvrir des jeunes formidables, ainsi que ceux qui les entourent, tous dotés d’une énergie et d’une volonté à toute épreuve. Ma démarche en elle même est, il me semble, une preuve que la France et ses représentants se préoccupent de cette jeunesse. Notamment dans les zones urbaines sensibles, où se concentre une grande part des jeunes de France.
Notre étude, dont l’objectif premier est d’éclairer le futur travail législatif dans une visée prospective, présentera également des pistes pour l’amélioration concrète de la vie de ces jeunes de France.
Il faut tendre vers une plus grande compréhension et une réelle mesure du potentiel de ces jeunes qui représentent notre avenir. Voila le but premier de mon rapport qui j’espère apportera sa pierre à la construction d’un futur plus lumineux pour notre jeunesse.
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