Je préside la mission d’information que la commission des affaires sociales du Sénat a mise en place pour mieux comprendre le phénomène du mal-être au travail. A la fin de l’année 2009, plusieurs drames ont mis en lumière le malaise de nombreux salariés qui souffrent dans l’exercice de leur activité professionnelle, en raison du stress, d’une charge de travail excessive, du harcèlement d’un supérieur ou de collègues, d’une absence de reconnaissance de leurs efforts et de leurs compétences… Nous souhaitons d’abord démêler les causes du mal-être au travail pour dégager ensuite des pistes de solutions.
Commentaires
Je n’ai pas lu tout le rapport, toutes mes excuses si ma suggestion a été envisagée, mais il me semble que l’impunité dont bénéficient les employeurs favorise la maltraitance au travail. De plus, il me semble qu’il faudrait revoir les droits des travailleurs. Pour plus de clarté, j’aimerais vous parler de mon cas : j’ai été licenciée pour faute grave après plus de 15 ans d’ancienneté, à tout juste 50 ans, vivant seule avec ma fille, sans diplôme, la catastrophe ! J’attends que la Cour européenne des droits de l’Homme ait le temps d’examiner mon dossier, mon ancien employeur fête ses 150 ans, le cauchemar ! Mais moi, cela fait six ans que je galère…
Enfin nos représentants s’intéressent au problème du mal au travail. Je souhaite que ces travaux débouchent sur de véritables résultats.
En effet c’est vraiment sympa de s’intéresser au travailleur. Merci au nom de tous les travailleurs
Aborder la question de la compétitivité et de la productivité de la France sous l’angle des relations au travail, c’est là une approche tout à fait nouvelle et fort à propos. Plusieurs chefs d’entreprise s’interrogent, en effet, sur l’évolution de l’entreprise après la crise et de la place de l’humain dans cette évolution. L’ampleur de la crise que nous traversons n’est pas sans effet sur l’entreprise, qu’il s’agisse d’adopter un management plus responsable, associer les salariés à la stratégie de l’entreprise, améliorer la cohésion sociale, permettre l’éclosion de nouvelles valeurs…
Bonjour,
Je suis fonctionnaire de police en Guyane donc en France, normalement. Et bien non puisqu’il faut être “originaire” de ce département pour pouvoir rester au delà des quatre années autorisées par l’administration. Autrement dit, le titulaire d’un titre de séjour de dix ans en Guyane a plus de droits qu’un français. Vive la République et sa constitution! Ce n’est pas tout. J’ai le droit de bénéficier ainsi que mon épouse d’un billet d’avion et de frais importants de déménagement alors que le contribuable serait épargné de quelques milliers d’euros si mon administration me laisser encore quelques mois en Guyane le temps de partir en pré-retraite. Eh bien non! il faut retourner en métropole avec à la clef bien entendu, pour mon épouse, la perte de son emploi puisqu’elle suit son époux. Allocations de chômage qui seront versées à l’intéressée à son arrivée à Orly. Encore de l’argent du contribuable bien utilisé. Ah la logique administrative! Qu’en pense M. Baroin et le Pt de la cour des comptes qui chassent le gaspi dans l’administration? Il n’y a pas qu’à France Télécom qu’on pousse les gens à bout. Il y a également de nombreux suicides dans la police. Rassurez vous, je ne vais pas tacher de sang mon écran après ce message. Mais quel gachis humain et financier, on marche sur la tête!
Cordialement