Lors de sa réunion du 28 avril, la mission a entendu les représentants des syndicats de policiers. Ils ont insisté sur le stress induit par leur activité professionnelle, sur les inconvénients des horaires atypiques de travail, sur l’isolement des jeunes provinciaux envoyés en région parisienne pour leur première affectation, sur les pressions de la hiérarchie. Si la Police s’est dotée d’un service de soutien psychologique, celui-ci semble encore mal armé pour mener un ambitieux travail de prévention